After the Robert Carsen Salome in Torino
(that got the OC Production of the Year Award,
OC is cooler than Gramophone and U know that),
now it's time for Geneva.
Nicola Beller Carbone
is back, secksy, filthy and drowned in blood,
to claim Jochanaan's head on a silver platter
in a production by Nicolas Brieger, next to Kim Begley's Herodes, Hedwig Fassbender's Herodias, Alan Held's Jochanaan and under the baton of Gabriele Ferro.
The reviews:
On suit alors Salomé, fil rouge et sanglant, extraordinaire Nicola Beller Carbone qui donne une dimension de folie désespérée à une pauvre gosse de riches, capricieuse et solitaire, trop désirée des hommes, trop avide d’un absolu qu’aucun d’eux ne sait lui indiquer. A l’image de la musique de Richard Strauss, Nicola Beller Carbone sauve Salomé parce qu’elle la comprend, qu’elle sait rendre justice à sa solitude désarmée et à sa quête impossible. Elle a une voix ardente et sensible dans un corps de frêle et souple sauvageonne, inexpérimentée et déterminée à la fois
...cette nouvelle production vaut surtout pour la présence dans le rôle-titre d' une bête de scène qui a pour nom Nicola Beller Carbone....
...le rôle-titre, que Nicola Beller Carbone habite avec un don inné du théâtre et de la tragédie, dans une gradation de l' enfant à la femme horrifiée par son crime qui fait froid dans le dos, avec aussi une énergie physique typique des bêtes de scène et, last but not least, des moyens à l' avenant....
(Le Figaro) Il faut en particulier saluer la prestation de Nicola Beller Carbone, qui triomphe dans le rôle de Salomé.
Nicola Beller Carbone singt das nicht nur, sie lebt es mit allen Fasern eines jungen, schlanken, agilen Körpers, mit der Mimik einer görenhaften, verwöhnten, grausamen, verletzten, ungeliebten Kindfrau, der die stimmlichen Mittel wie selbstverständlich zu Gebote stehen. Mag es auch keine grosse Stimme sein: An Strahlkraft, Expressivität und Durchhaltevermögen fehlt es ihr nicht. Dem Straussschen Idealbild einer 16-Jährigen mit Isolde-Stimme kommt Nicola Beller Carbone jedenfalls denkbar nahe.
Watch a video from the production here
read an interview of NBC here
see more bloody photos at NBC's website
Or listen to Nicola Beller Carbone in the final scene...
(that got the OC Production of the Year Award,
OC is cooler than Gramophone and U know that),
now it's time for Geneva.
Nicola Beller Carbone
is back, secksy, filthy and drowned in blood,
to claim Jochanaan's head on a silver platter
in a production by Nicolas Brieger, next to Kim Begley's Herodes, Hedwig Fassbender's Herodias, Alan Held's Jochanaan and under the baton of Gabriele Ferro.
The reviews:
On suit alors Salomé, fil rouge et sanglant, extraordinaire Nicola Beller Carbone qui donne une dimension de folie désespérée à une pauvre gosse de riches, capricieuse et solitaire, trop désirée des hommes, trop avide d’un absolu qu’aucun d’eux ne sait lui indiquer. A l’image de la musique de Richard Strauss, Nicola Beller Carbone sauve Salomé parce qu’elle la comprend, qu’elle sait rendre justice à sa solitude désarmée et à sa quête impossible. Elle a une voix ardente et sensible dans un corps de frêle et souple sauvageonne, inexpérimentée et déterminée à la fois
...cette nouvelle production vaut surtout pour la présence dans le rôle-titre d' une bête de scène qui a pour nom Nicola Beller Carbone....
...le rôle-titre, que Nicola Beller Carbone habite avec un don inné du théâtre et de la tragédie, dans une gradation de l' enfant à la femme horrifiée par son crime qui fait froid dans le dos, avec aussi une énergie physique typique des bêtes de scène et, last but not least, des moyens à l' avenant....
(Le Figaro) Il faut en particulier saluer la prestation de Nicola Beller Carbone, qui triomphe dans le rôle de Salomé.
Nicola Beller Carbone singt das nicht nur, sie lebt es mit allen Fasern eines jungen, schlanken, agilen Körpers, mit der Mimik einer görenhaften, verwöhnten, grausamen, verletzten, ungeliebten Kindfrau, der die stimmlichen Mittel wie selbstverständlich zu Gebote stehen. Mag es auch keine grosse Stimme sein: An Strahlkraft, Expressivität und Durchhaltevermögen fehlt es ihr nicht. Dem Straussschen Idealbild einer 16-Jährigen mit Isolde-Stimme kommt Nicola Beller Carbone jedenfalls denkbar nahe.
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Or listen to Nicola Beller Carbone in the final scene...
1 comment:
BON DEPART
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